Acheté le 16 juin 2015 et planté le jour même. Il a été déplanté quelques mois après. Il préfère un sol riche, acide et bien drainant. Originaire du sud-est asiatique, son feuillage est persistant et se teinte de rouge-pourpre en hiver. Elle préfère une exposition mi-ombre mais peut être placée au soleil. Sa rusticité est de -10°.

   Il peut être mené en plante grimpante ou en couvre-sol et atteindre 3,50 m de haut (long) pour 1,50 de large. Sa résistance aux embruns est très intéressante.

   Sa floraison est rare. Ses fleurs en forme d'étoile de couleur blanc-crème, sont très odorantes et mellifère.

   Le 2 juin 2019, nous l'avons rempoté dans un pot un peu plus grand et taillé en laissant à peine un tiers de sa hauteur. Nous espérons que ça va le booster !

   Le 8 mai 2021, toujours en vie, avec un gros système racinaire. Alain a coupé la motte en deux et l'a planté derrière le bassin. Il sera dirigé comme un couvre-sol.

   Rusticité : -12°

                   les parties aériennes sont atteintes à partir de -8°

            16 juin 2015                       5 février 2021                        5 mai 2021

   Acheté à une foire aux plantes à plougasnou (29) le 21 juillet 2013. Nous l'avons planté le 23 juillet 2013 et déplanté durant l'été 2015. C'est une liane puissante qui atteindre 12 mètres de long. Son feuillage est persistant et en automne les feuilles deviennent de couleur bronze. je mettrais une photo prochainement.

   rusticité : -15°

                   le feuillage est atteint à partir de -10°

          23 juillet 2013

   Ce palmier à tiges multiples est originaire du centre et du nord-est du Mexique. Il pousse dans les sous-bois entre 800 et 1500 mètres d'altitude, donc à planter à mi-ombre ou à l'ombre. Il n'est pas très grand, puisqu'il mesure 3 mètres de haut maximum, mais résiste à -8°. Son aspect fait penser à du bambou d'où son nom.

   En décembre 2014, j'ai acheté une plantule de 3 ans sur le net. placé quelques mois dans une jardinière, nous l'avons remis en pot en septembre 2015.

   En mai 2017, le voilà arrivé dans notre nouveau jardin. Les feuilles sont sèches, il en a perdu beaucoup, mais au pied, du vert apparait. Je pense qu'il n'y aura pas de soucis, il va se remettre de ses 18 mois de manque d'entretien...

         20 décembre 2014            10 septembre 2015                   18 mai 2017

               20 mai 2018                               21 mai 2019                                21 mai 2019

            14 août 2020                       20 septembre 2020                  5 février 2021

   Acheté le 1er mai 2010 à la foire aux plantes à stangalar à Brest. Nous l'avons planté le 15 mai de la même année. Elle a une pousse très très lente ! Pour nous suivre dans notre nouveau jardin, déplanté l'été 2015, elle a été emmené au champs avec les autres plantes. Malgré le manque d'arrosage, elle parait avoir bien tenu le coup.

   Le 3 février 2018, la voilà plantée !

   rusticité : -25° (à confirmer)

           10 mai 2010                               21 mai 2017                            3 février 2018

             10 mai 2018                               28 avril 2019

   décembre 2014 :

   Depuis le temps qu'il en rêvait, voilà que le père noël a apporté ce joli cornus à Alain. Nous avons mis un peu de temps avant de le planter... et non, il n'y a pas que des palmiers au jardin

   J'adore sa forme pyramidale et ses rameaux étagés. Il est originaire de Chine et du japon. Son feuillage est très lumineux ! Sa croissance est lente, mais il peut résister jusqu'à au moins -15° ! Il peut tout de même atteindre 6 à 7m de haut pour une envergure de 4 m !

   été 2015 :

   Nous l'avons déplanté pour nous suivre dans le nouveau jardin.

   mai 2017 :

   Après avoir passé 18 mois dans le champs, le pot semi-enterré, il fait parti de la première remorquée de plants à "rapatrier" au tregor. Une branche a séché et son pot de 80 litres parait léger. Nous allons pouvoir contrôler les arrosages pour le requinquer !

   7 avril 2018 : ça y est, il a été planté à sa place définitive, j'espère que l'emplacement lui conviendra...

  24 juin 2019 :  Les bourgeons ont brûlé avec le vent. Cette année pour la première fois, il n'y a pas eu de floraison...

         11 décembre 2014                      17 mai 2017               7 avril 2018 - plantation

               30 mai 2018                        30 mai 2018 - la fleur                  7 août 2019

            28 mai 2022

   Je trouve vraiment très joli ce rhododendron. On nous l'a offert début mars 2013, où nous avons donc pu admirer sa floraison précoce (dès le mois de février au mois d'avril). Il commence a s'étoffer, je trouve sa couleur magnifique ! Ses feuilles sont caduques et il peut atteindre 1m20 de haut environ au bout de 10 ans. Sa rusticité est de -15° (à vérifier)

   Planté le 23 mars 2013, nous l'avons remis en pot pour nous suivre l'été 2015.

   mai 2017 : Nous avons été agréablement surpris de voir qu'il avait résisté dans le champs, sans aucun soin et surtout sans arrosage ! il fera surement partie de la prochaine remorquée à revenir au tregor.

   juillet 2017 : le voilà au Tregor, le substrat très très sec, il a subit la sécheresse mais il n'est pas mort, c'est le principal ! Il n'est pas beau à voir mais il a tout de même triplé de volume en 4 ans !

   3 février 2018 : plantation

   9 mars 2018 : après 2 ans en pot, la plantation du 3 fév 2018, une journée à -3° et une autre avec de la neige, le rhodo a beaucoup stressé. D'où certainement le fait qu'il n'ait pas beaucoup de feuilles et qu'une bonne partie des bourgeons floraux sont tombés, il n'a pas très fière allure. L'année prochaine il sera plus joli !

   7 mai 2019 : nous sommes en train de créer un massif "japonisant". Nous avons donc décidé de le déplacer.

           7 mars 2013                             18 mars 2015                              13 juillet 2017

          3 février 2018                                 13 mars 2018                           19 février 2019

             7 mai 2019                                     8 février 2020                           5 mars 2021

   Cet érable sera consacré à une autre passion : les bonsaÏs. En pleine terre sa rusticité est de -20°, mais en pot on peut au moins diviser par deux, si ce n'est plus !

le 5 mai 2014 :

  Il y a 3 semaines, je suis allée faire un tour chez mon pépiniériste. Parmi les érables je vois un joli plant qui serait parfait pour en faire un bonsaï. Je le prend donc et j'attends mon tour pour payer. Ho et puis zut ! ça n'avançait pas... du coup je suis repartie dans la serre le déposer à l'entrée.  Mais c'est qu'il me restait dans la tête ce plant !

  Donc aujourd'hui, me voilà repartie et quelle surprise...le petit érable (50 cm sans le pot tout de même !) était toujours là ou je l'avais posé. Je pense du coup qu'il n'a pas été très arrosé... il est en conteneur de 3 litres, c'est déjà un beau plant !

  Cette fois-ci c'est sûr, je suis repartie avec ! Apparemment il aura un feuillage orange feu à l'automne, mais avant il y a du boulot ! je l'emmènerais au club de bonsaï le 17 mai prochain.

 le 7 mai 2014 :

  J'ai taillé un peu quelques feuilles et coupé de fin rameaux qui étaient vraiment trop longs. En grattant la terre pour regarder le nébari, je me suis rendue compte qu'il est plus que temps de rempoter !

   le 17 mai 2014 :

   Me voilà revenue du club. Trop tard pour couper les racines, certaines branches ont tout de même été taillées. Bryan m'a mis du cicatrisant sur les plaies. J'ai gratté un peu la surface et le fond du système racinaire avant de le mettre dans un pot plus grand. Il faut attendre l'automne maintenant...

   mai 2017 : durant ces trois années, je n'ai fait que pincer les feuilles deux fois par an (printemps et été). Il a été livré à lui-même et il y aura du boulot à reprendre tout ça ! je ne fais plus partie du club de bonsaï par faute de temps.

  17 janvier 2018 :

   Après une taille sévère, j'ai ligaturé les branches principales pour leurs donner un sens. Je ne toucherais pas aux racines cette année, ça risque de faire trop de stress à l'érable...

   24 février 2019 : rempotage dans un pot en terre cuite très haut.

   05 janvier 2021 : ligaturage et grosse taille, puisque pas taillé depuis plus de 2 ans.

           5 mai 2014                             17 mai 2014                       23 novembre 2014

            13 mai 2016                           23 mai 2017                               17 janvier 2018

            16 mars 2018                            3 mai 2018                              24 février 2019

          19 mars 2019                        20 mars 2021

   Voici un érable que j'ai eu en cadeau pour mon anniversaire avec un acer bloodgood.

   Cet acer 'enkan' ressemble à la variété 'red pygmy', avec une couleur pourpre plus marquée l'été, feuillage rouge vif au printemps et vire au rouge éclatant à l'automne.

   Il peut être planté au soleil ou à mi-ombre et supporte bien la culture en pot. Son port est érigé et très évasé et ses feuilles linéaires sont caduques. Sa floraison au mois de mai reste dans les mêmes tons : rougeâtre. Il résiste à -18° et mesurera adulte 2 à 3 mètres.

   Son feuillage nous a fait penser un peu à du bambou, d'ailleurs sur son chromo il est indiqué red bamboo leaves ! C'est la première fois que l'on voit cette variété. On a craqué, Alain a acheté aussi un pot vert fluo qui fera ressortir son feuillage sur la terrasse.

   mai 2017 : il a bien supporté le déménagement. Quelques branches ont séché mais il s'est étoffé.

   5 octobre 2019 : la sève commence à descendre, les feuilles à tomber... on a décidé de rempoter dans un pot en terre de 56 cm de diamètre, pour lui donner plus d'espace. Il en avait besoin.

              30 mai 2015                               6 juin 2015                           17 mai 2017     

              22 avril 2018                           23 avril 2019                     5 octobre 2019

             5 mai 2021                               17 avril 2022. 16 mars 2024

    Originaire de Nouvelle-Zélande et d'Australie, cette fougère arborescente supporte des températures froides avec des gels brefs allant jusqu'à -10°, voir plus si elle est protégée des vents.

   Son feuillage par contre, ne reste persistant que jusqu'à -5°. Il lui faut un sol drainant et riche en humus et une exposition à mi-ombre. En été, elle a besoin d'arrosages fréquents par le haut du tronc qui doit rester humide.

   En culture elle ne dépassera guère les 2-3 mètres de haut. Le caudex (tronc) se forme tous les ans de 3 à 8 cm  environ pour la région ouest.

   Nous avons acheté chez un pépiniériste le 7 juillet 2014, un pot avec une petite dizaine de petites dicksonias que nous avons dû séparer le 19 octobre 2014 pour qu'elles grandissent plus facilement. Depuis l'acquisition, elles sont en serre froide.

   le 15 juin 2015 : Nous décidons de planter 3 dicksonias (deux des plus grandes et une petite). Elles seront déplantées quelques mois plus tard et remises en pot, pour nous suivre au tregor avec les plus petites. deux des petites sont mortes.

   le 8 avril 2017 : il nous reste 3 "grandes" dicksonias et 3 petites. Deux autres petites n'ont pas supporté le manque d'arrosage durant ces 18 derniers mois. 6 sur 10... c'est plutôt une belle réussite , vu les circonstances du déménagement et l'absence totale d'entretien ! Le tronc commence à se former sur les plus grandes. je pense qu'une fois plantées, elles devraient pousser avec rapidité. J'aimerais les regrouper dans le même lieu.

   février 2019 : nous avons changé une des dicksonia qui est morte. Après avoir creusé, nous nous sommes aperçu qu'il y avait des sacs plastique d'engrais empilés !!! pas étonnant qu'elle soit morte ! nous n'avons pas pu tout retiré, on aurait fait des dégâts sur les autres plantes...

            7 juillet 2014                            19 octobre 2014                            8 avril 2017

                  20 mai 2018                                    30 mai 2018                                      18 mai 2019

              20 septembre 2020                      23 juillet 2022                              12 juin 2023

   Il est originaire de l'île Vulcano dans l'archipel de Liapri au Nord-Est de la Sicile. Son port est compact, à l'âge adulte il ne dépasse rarement les 2,5 mètres.

   Achat le 24 avril 2011, serre du houlen, plouénan (29). Il pousse très très lentement... Nous l'avons planté début février 2012 et déplanté l'été 2015.

   En mai 2017, après 18 mois dans le champs , nous venons de le récupérer. Il s'est bien étoffé !

   22 avril 2018 : on le met dans un pot de terre cuite 50 x 50 x 50 cm.

   24 février 2019, nous avons décidé de tourner d'un quart le pot en terre cuite (très lourd), puisque le vulcano ne pousse que d'un côté. On le fera chaque année, pour qu'il soir plus homogène dans son feuillage.

26 avril 2020 : Ses racines sortaient du pot (pourtant un pot de 50 cm x 50 cm !) on a cassé 2 jolis morceaux en dépotant pour le sortir de son pot. ça n'a pas été facile ! enfin le voilà planté près de la terrasse.

   rusticité : les parties aériennes sont atteintes à -10°

                la plante meurt à -12°

               24 avril 2011                            14 mai 2017                              22 avril 2018

          27 décembre 2018                  24 février 2019                        26 avril 2020

                 29 mai 2022